Corridors fauniques

relier le Nord-Est pour un avenir florissant

Boursière Trebek 2022

Kateri Monticone

Behind the scenes with Trebek Grantee Kateri Monticone and the crew capturing the story of wildlife crossings and habitat restoration in Canada.

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Ce projet met en valeur la collaboration entre communautés, municipalités, propriétaires de boisés, gouvernements et organismes de conservation, qui travaillent ensemble pour reconnecter les milieux naturels au-delà des frontières provinciales et créer des voies vitales pour des espèces comme le lynx, l’orignal et la tortue.

Créer des passages pour favoriser la résilience

Imaginez une famille d’orignaux, autrefois isolée par des routes et l’étalement urbain, circulant librement grâce à des corridors fauniques protégés.

C’est le cœur du projet de Kateri Monticone, boursière Trebek, développé avec Conservation de la nature Canada (CNC) : consolider les corridors écologiques en misant sur une approche collective, afin de relier différents types d’habitats nécessaires aux multiples étapes de vie des espèces, et d’appuyer leur adaptation aux changements climatiques. Les corridors écologiques rendent aussi des services écosystémiques essentiels, comme l’approvisionnement en nourriture et en air pur, ainsi que les cycles de l’eau et des nutriments. Ils favorisent la cohabitation entre humains et faune, tout en créant des liens entre les gens et la nature. C’est dans cette optique que l’Initiative québécoise Corridors écologiques (IQCE) a été lancée en 2017.

Grâce à l’appui de l’Initiative Trebek et en partenariat avec CNC, Kateri est allée à la rencontre des bâtisseurs de corridors dans l’Est du Canada pour créer une série de courts métrages.

Ces films témoignent des défis liés à la fragmentation des habitats, des efforts de conservation en cours, et de l’importance d’impliquer une diversité d’acteurs pour assurer la réussite du réseau écologique.

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Corridors : la voie de la nature

La nature, c’est nous.
Accompagnez Kateri Monticone dans son voyage à travers l’Est du Canada, à la rencontre de celles et ceux qui créent des corridors écologiques essentiels.
Ces passages reconnectent les habitats et aident les espèces à s’adapter aux changements climatiques.
Du parc national Forillon aux Laurentides, découvrez comment communautés, scientifiques et organismes de conservation unissent leurs forces pour un avenir plus résilient. Voir le film.

OBSTACLES À LA MIGRATION

Des habitats fragmentés : la faune en péril
Le développement humain fragmente les milieux naturels à travers le Canada, privant les animaux d’accès à la nourriture, aux partenaires et aux abris.
Des espèces comme le loup et l’orignal peinent à se déplacer librement, ce qui entraîne davantage de collisions routières, une diversité génétique réduite et des écosystèmes fragilisés.
Protéger les corridors écologiques permet de réduire ces impacts et d’assurer un avenir plus viable pour toutes les espèces.
Découvrez comment nous pouvons reconnecter les voies naturelles et préserver la biodiversité du Canada.

DES HISTOIRES PORTEUSES D’ESPOIR

Restaurer les corridors du Nord-Est
Partout dans le Nord-Est, des communautés se mobilisent pour reconnecter les habitats fragmentés et restaurer les corridors fauniques.
Des forêts du Québec aux rivages de la Nouvelle-Écosse, ces efforts permettent à des espèces comme l’ours noir, l’orignal et le lynx de retrouver leur liberté de mouvement.
Portées par la collaboration, ces initiatives revitalisent les écosystèmes, protègent la biodiversité et construisent un avenir où l’humain et la nature peuvent prospérer ensemble.
Explorez trois récits inspirants de partenariats ci-dessous.

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Voyage au cœur des corridors :

un lien vital pour la faune

La nature est essentielle à notre survie. Elle nous fournit de l’eau et de la nourriture, purifie notre air, pollinise nos cultures et soutient notre santé mentale. Elle est une source inépuisable de bienfaits et de possibilités. En la respectant, en la protégeant et en la célébrant, l’humanité peut s’épanouir et prospérer.
Mais les activités humaines transforment notre environnement à un rythme de plus en plus rapide et profond, provoquant notamment des bouleversements climatiques et une chute massive de la biodiversité.

Pour freiner ce déclin, la réponse a longtemps été de créer des aires protégées abritant des milieux et des espèces exceptionnels. Pourtant, dans des territoires fortement modifiés par l’humain, ces îlots de nature, entourés d’un océan de développement, ne suffisent pas à eux seuls à enrayer la perte de biodiversité.

Grâce à une meilleure compréhension des écosystèmes, on accorde désormais la priorité à la création de réseaux écologiques. Cette stratégie est essentielle pour concilier la santé de la nature et l’aménagement du territoire, au profit des espèces comme des humains.

Avec l’aggravation de la crise climatique, de nombreuses espèces nord-américaines devraient migrer vers le nord. Certaines pourraient s’établir dans l’Est du Canada pour y trouver les conditions nécessaires à leur survie.
Préserver nos vastes milieux naturels, en particulier les corridors qui les relient, permettra à la faune de se déplacer en toute sécurité.

Découvrez les récits inspirants de communautés qui unissent leurs forces pour protéger ces passages vitaux.

Regardez Corridors : la voie de la nature

Des habitats fragmentés :

des espèces en péril

La fragmentation des habitats a un impact majeur sur la faune, qui dépend d’une forte connectivité pour accéder aux ressources essentielles à sa survie. Voici trois espèces particulièrement vulnérables à ces effets.

(© Eduard Kyslynskyy

Orignal

L’orignal a besoin de vastes espaces connectés pour se déplacer librement. Même si les forêts constituent l’essentiel de son habitat, l’accès à des plans d’eau comme les lacs est tout aussi crucial.

L’urbanisation croissante et la fragmentation du territoire ont restreint l’accès à de grandes portions de son habitat, mettant en péril sa survie. Les corridors écologiques lui offrent non seulement un abri contre les activités humaines (comme les routes), mais aussi la liberté de circuler dans son aire de répartition pour accéder à la nourriture et à l’eau.

(© Joe Crowley

Tortue peinte

Bien qu’elle ait besoin de moins d’espace que l’orignal, la tortue peinte dépend elle aussi d’un paysage connecté pour survivre.

Elle passe la majorité de son temps dans ou autour des étangs et des marais, mais utilise aussi les zones de végétation dense pour se cacher des prédateurs terrestres.

La perte et la fragmentation de son habitat, ainsi que la mortalité routière, représentent les plus grandes menaces à sa survie au Canada.

Paruline à ailes dorées

Reconnaissable à la tache jaune vif sur ses ailes, la paruline à ailes dorées est très sensible à la fragmentation et à la disparition des jeunes forêts broussailleuses.

À mesure que son habitat se réduit, elle doit affronter une concurrence accrue avec d’autres oiseaux pour la nourriture, les sites de nidification et les territoires de reproduction.

Cette compétition, qui épuise les ressources vitales, compromet fortement sa survie.

En savoir plus sur les efforts de restauration des corridors

Ce projet vise à reconnecter et revitaliser nos milieux naturels pour assurer un avenir durable aux personnes, à la faune et à l’environnement. À travers quatre courts métrages, Kateri explore les éléments clés de ce travail : l’agriculture et la foresterie durables, le rôle moteur des Premières Nations en conservation, et les moyens de rendre les routes plus sécuritaires pour la faune — en alignant les voies sur les déplacements des animaux et en ajoutant des traverses, des clôtures et des mesures de réduction de vitesse.

Visionnez les vidéos ci-dessous pour en apprendre davantage sur chaque aspect du projet.

Agriculture

Découvrez comment les corridors profitent à l’agriculture en protégeant les cultures contre les vents forts et la neige, et pourquoi une meilleure connectivité est cruciale pour les espèces migratrices qui traversent les paysages agricoles.

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Foresterie

Premières Nations

Située au carrefour du Nouveau-Brunswick, du Québec et du Maine, la région des « trois frontières » se trouve sur le territoire ancestral de la Première Nation Wolastoqiyik Wahsipekuk.

Caroline Morais, qui participe activement à la protection de ce territoire, explique le rôle de sa Nation comme gardienne de la terre.

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Des passages sécuritaires

La déforestation et la perte de biodiversité sont des conséquences fréquentes de l’urbanisation.

Dans cette vidéo, le technicien forestier Marc Champagne souligne l’importance de créer des partenariats durables entre le secteur forestier et les experts en conservation.

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Dans cette vidéo, on suit Francisco Retamal-Diaz, coordonnateur de projet à Conservation de la nature Canada, qui explique comment l’ajout d’une traverse pour la faune dans le corridor écologique de Breckenridge a permis de réduire significativement la mortalité des tortues dans la région.

Regarder la vidéo

En 2017, CNC a lancé l’Initiative québécoise Corridors écologiques (IQCE) pour accélérer la conservation des milieux naturels connectés par des corridors écologiques. L’initiative est coordonnée par CNC et pilotée par un regroupement de 10 organismes. Ensemble, ils proposent une approche concertée en aménagement du territoire et conseillent les gouvernements provinciaux et municipaux, les propriétaires de boisés, les agriculteurs et d’autres acteurs clés.

Passez à l’action

Les paysages du Canada ne sont pas seulement magnifiques, ils sont essentiels à la survie d’innombrables espèces et à la santé de nos communautés. Votre appui peut vraiment faire une différence!

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Initiatives de corridors fauniques dans le Nord-Est

Les provinces canadiennes font face à des défis uniques pour préserver et restaurer les corridors naturels. Mais un fil conducteur unit tous ces efforts : la force de la collaboration et l’engagement des communautés. Des forêts denses aux paysages variés, ces initiatives de conservation reposent sur des partenariats régionaux et la mobilisation locale.

Découvrez comment les milieux naturels propres à chaque province sont reconnectés pour permettre à la faune de prospérer, tout en favorisant une cohabitation harmonieuse entre les humains et la nature.

Initiative québécoise Corridors écologiques (IQCE)

Des Laurentides à la Gaspésie, les milieux naturels du Québec subissent de plus en plus de pressions liées à l’étalement urbain, à la fragmentation des habitats et aux changements climatiques. L’Initiative québécoise Corridors écologiques (IQCE) a été lancée par Conservation de la nature Canada (CNC) en 2017 pour accélérer la conservation des milieux naturels reliés par des corridors écologiques.

Coordonnée par CNC, cette initiative rassemble dix organisations partenaires qui adoptent une approche concertée de l’aménagement du territoire et qui conseillent les gouvernements provinciaux et municipaux, les propriétaires de boisés, les agriculteurs et d’autres acteurs clés.

[En savoir plus sur l’IQCE]

    • Avec les changements climatiques, l’aire de répartition des espèces pourrait se déplacer vers le nord à raison de 45 kilomètres par décennie.

    • Les territoires couverts par les partenaires principaux de l’IQCE comprennent une grande diversité d’habitats essentiels à de nombreuses espèces.

    • Cette région joue aussi un rôle de liaison entre les provinces et les États voisins.

    • Les corridors écologiques sont indispensables pour permettre aux espèces de se déplacer librement entre leurs milieux de vie.

    • Les activités économiques et sociales peuvent s’y maintenir, à condition d’adapter les pratiques pour ne pas nuire à la connectivité.

    • Le corridor Plaisance–Tremblant relie deux parcs nationaux à d’autres aires protégées.

    • La réussite des efforts de conservation au Québec repose sur la collaboration entre communautés locales, scientifiques et décideurs.

    • Les corridors locaux s’inscrivent dans un réseau écologique à l’échelle provinciale, qui est aussi connecté à d’autres régions clés.

    • L’implication des communautés est essentielle pour élaborer des stratégies efficaces, démontrant la valeur du savoir collectif et des ressources partagées.

Collectif Algonquin–Adirondacks (A2A)

La région entre Algonquin et les Adirondacks (A2A) est riche et diversifiée. Elle abrite de nombreuses espèces et comprend plusieurs aires protégées, comme le parc provincial Algonquin, en Ontario, et le parc des Adirondacks, dans l’État de New York. Un secteur clé est l’Arche de Frontenac, un lien essentiel entre les forêts boréales du Canada et les forêts tempérées des États-Unis. Reconnue comme l’une des deux réserves de biosphère de l’UNESCO dans la région A2A, l’Arche de Frontenac est un chapelet d’îles qui forme un pont naturel au cœur du fleuve Saint-Laurent, facilitant la migration des plantes et des animaux.

[En savoir plus sur la région A2A]

    • L’Arche de Frontenac regroupe une biodiversité exceptionnelle, où cinq grandes régions forestières se rejoignent.

    • Elle abrite plusieurs espèces en péril, comme la grive des bois, la tortue émyde à carapace ponctuée et la rainette faux-grillon de l’Ouest.

    • Les Mille-Îles forment un véritable pont naturel sur le fleuve Saint-Laurent, permettant aux espèces de traverser et reliant entre elles différentes aires protégées.

    • L’expansion des infrastructures, comme l’autoroute 401, représente un défi majeur pour la faune, fragmentant la région de l’Arche de Frontenac et limitant les déplacements des animaux.

    • Les collisions entre la faune et les véhicules sont la principale conséquence directe de la route sur la biodiversité, soulignant l’importance de créer des passages sécuritaires pour les espèces.

    • L’organisme A2A collabore avec de nombreux partenaires, à l’échelle locale et nationale, pour reconnecter le territoire et les communautés.

    • Le rapport Droit de passage propose une stratégie audacieuse pour rétablir la connectivité, réduire la mortalité animale et améliorer la sécurité routière dans ce corridor faunique continental d’importance.

Lisez le rapport « Le droit de circuler librement »

Initiative Staying Connected

La région des Appalaches nordiques–acadiennes s’étend du nord-est des États-Unis au sud-est du Canada. Elle abrite une multitude d’espèces et joue un rôle essentiel dans la connectivité écologique de l’ensemble de la chaîne des Appalaches.

L’Initiative Staying Connected est un partenariat public-privé entre le Canada et les États-Unis qui vise à conserver et à restaurer la connectivité écologique dans cette région. Elle a identifié plusieurs zones de liaison clés, indispensables pour relier les forêts intactes restantes et soutenir les déplacements d’espèces dans un contexte de changements climatiques. Ces liens permettent à des espèces à grand territoire, comme l’orignal et le lynx roux, de circuler librement entre leurs habitats, tout en appuyant la connectivité à plus petite échelle pour d’autres espèces.

L’initiative collabore avec de nombreux partenaires, à différentes échelles et de part et d’autre de la frontière, afin de mettre en œuvre des solutions innovantes pour favoriser la connectivité.

En savoir plus sur l’Initiative Staying Connected

    • Plusieurs zones de liaison essentielles traversent les frontières, comme celle reliant les Northern Greens au Canada (du Vermont au Québec), la région des Trois Frontières (Maine, Nouveau-Brunswick et Québec), l’isthme de Chignectou (entre la Nouvelle-Écosse et le Nouveau-Brunswick), ainsi que la région Algonquin–Adirondacks (qui relie l’Ontario à l’État de New York).

    • Les partenaires de l’IMNI travaillent avec des organismes locaux et des communautés pour améliorer et préserver la connectivité dans ces zones de liaison d’importance régionale.

    • Les stratégies et projets de l’IMNI incluent la conservation des milieux naturels, l’aménagement du territoire, les mesures d’atténuation pour les infrastructures, la science de la conservation, la mobilisation et le renforcement des capacités, ainsi que le développement de politiques publiques.

    • Ces stratégies sont appliquées à différentes échelles : régionale, provinciale, étatique et locale.

Partenaires

La Wolastoqiyik Wahsipekuk FIRST NATION

La Wolastoqiyik Wahsipekuk First Nation, autrefois connue sous le nom de Première Nation malécite de Viger, est la seule Nation wolastoqey présente sur le territoire québécois. Les six autres Nations wolastoqey se trouvent au Nouveau-Brunswick. Après la perte de ses terres de réserve en 1869, la communauté s’est dispersée sur les territoires du Québec, du Canada et des États-Unis.

Aujourd’hui, la Nation possède une petite réserve à Cacouna, dans le Bas-Saint-Laurent, et ses membres forment toujours une diaspora répartie à travers le Québec et au-delà. Plusieurs membres de la Nation retournent encore sur leur territoire ancestral, le Wolastokuk, pour y pratiquer des activités traditionnelles.



Conservation de la nature Canada (CNC)

Conservation de la nature Canada (CNC) est le principal organisme de conservation des terres à l’échelle nationale. Organisation privée à but non lucratif, CNC collabore avec des individus, des entreprises, des fondations, des communautés autochtones, d’autres organismes à but non lucratif et des gouvernements de tous les niveaux pour protéger les joyaux naturels qui soutiennent la faune et la flore canadiennes.

CNC acquiert des propriétés (par don, achat, entente de conservation ou renonciation à d’autres droits fonciers) et les gère à long terme. Depuis 1962, CNC et ses partenaires ont contribué à la protection de plus de 15 millions d’hectares à travers le pays, d’un océan à l’autre.

Initiative québécoise Corridors écologiques (IQCÉ)

Lancée par Conservation de la nature Canada en 2017, l’Initiative québécoise Corridors écologiques (IQCÉ) vise à accélérer la conservation des milieux naturels reliés par des corridors écologiques. Elle est coordonnée par CNC et dirigée par un regroupement de 10 organisations.

Ce collectif propose une approche concertée de l’aménagement du territoire et conseille les gouvernements provinciaux et municipaux, les propriétaires de boisés, les agriculteurs et d’autres parties prenantes. L’IQCE mène également des activités de mobilisation, de renforcement des capacités, de reconnaissance et de soutien dans tout le sud du Québec. Elle rassemble plus de 100 experts et intervenants engagés.


Le A2A Collaborative (A2A)

Le A2A Collaborative est un partenariat réunissant des groupes des États-Unis, du Canada et des Premières Nations. Il collabore avec des scientifiques, des décideurs politiques et des organismes de conservation pour protéger et renforcer les caractéristiques écologiques uniques de la région A2A.

Son objectif est d’assurer la résilience et la connectivité écologique de ce territoire afin de soutenir l’ensemble des espèces indigènes et d’améliorer la qualité de vie des populations humaines pour les générations à venir.


L’Initiative Staying Connected

L’Initiative Staying Connected rassemble un ensemble unique de partenaires gouvernementaux, non gouvernementaux et universitaires engagés à conserver, restaurer et maintenir les connexions écologiques à travers la région forestière des Appalaches nordiques–acadiennes.

Les partenaires de l’initiative agissent à différentes échelles, aux États-Unis et au Canada, afin de protéger les espèces indigènes contre les effets de la perte et de la fragmentation des habitats dans un contexte climatique en évolution. Leur travail appuie également des communautés humaines en santé, ainsi que des activités compatibles avec les écosystèmes.

Pour atteindre ces objectifs, les partenaires mettent en œuvre des actions variées : conservation scientifique, acquisition et restauration de milieux naturels, intendance des terres, planification territoriale, solutions en transport, mobilisation citoyenne et élaboration de politiques publique.


Le Project Trebek

Fruit d’un partenariat entre la Société géographique royale du Canada et la National Geographic Society, le Projet Trebek soutient et met en lumière des initiatives qui explorent, racontent et préservent le patrimoine naturel, culturel et historique du Canada.

En finançant des projets audacieux menés par des conteurs, des scientifiques et des leaders en conservation, le Projet Trebek invite les Canadiennes et Canadiens à mieux comprendre leur lien avec la terre, l’eau et la faune.

Depuis son lancement en 2021, le Projet Trebek est fier d’avoir appuyé 50 projets à travers le pays, donnant à une nouvelle génération d’explorateurs les moyens de faire rayonner des récits porteurs de solutions pour un avenir plus durable.

Suivez @trebekinitiative sur Instagram

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